Pour les Grenouilles, WE mouvementé
Nous (enfin, Didier, surtout) avons fini de remonter la RGV Mercredi, et ce sera sa première sortie, sous aucun essai préalable… Jamais une situation idéale…
Vendredi, essais libres.
Pour la RDTZ, aucun souci. L’embrayage (cramé au Mans) est neuf, et le Moteur tourne rond.
En revanche, comme cela était prévisible, gros soucis du coté de la 250.
Une première séance de rodage permet d’entrevoir ure partie cycle très vive, et un moteur très pointu. . .
Rien de très surprenant.
En revanche, dès la 2e séance, je m’aperçois que le Moteur ne monte pas dans les tours comme il devrait. Pire, il semble réguler à 8000 T/M.
En fait, dès que la moto est chaude, un cylindre se coupe de manière assez aléatoire.
On y passera tout le samedi après midi, sans succès.
Après avoir testé les bobines, le CDI, les bougies, on en revient à un problème de carburation.
Nettoyage des cabus, réglage des niveaux de cuve, changement des pointeaux, rien n’y fera.
Au tour de chauffe de la première manche, ça va mieux, mais les coupures réapparaissent.
Je prends sagement la voie des stands pour éviter de tout casser dès la première course. . .
Alex, lui fera une course raisonnable en 1è manche (10è) et se fera « proprement » sortir au départ de la 2è manche.
Pas de bobo, pas de casse, mais, un peu de vague à l’âme.
Quant à moi, heureusement, j’étais aussi inscrit en Classic 500.
Pourtant, l’histoire a mal commencé et failli mal finir.
Vendredi, je passe la journée (entre les roulages) à finir la RGV pour qu’elle soit conforme au règlement (freinage des vis, dente de requin, bocal de récupération…).
Quand je me présente au contrôle pour la RDTZ, j’ai 15’ de retard.
RV le lendemain, et là, gros malentendu. Le soir même, avec son accord (du moins, c’est ce que j’avais compris…), je laisse la moto au contrôleur avec mon carnet.
Le matin, je la récupère, pensant que la vérification avait été effectuée.
Et quand, je me présente en pré grille pour les essais chronos, j’ai interdiction d’entrer sur le circuit la moto n’ayant pas été contrôlée….
Incrédule, Je discute, je parlemente, je tente d’avoir une explication et/ou de m’expliquer…
Rien n’y fait, retour aux stands.
Comme disait le petit père Hugo, tempête sous un crâne.
Puis intervention d’Évelyne ( merci à elle) qui me confirme que je pourrais rouler si je me (re) présente au contrôle technique (ouf !), mais… départ depuis la dernière ligne !
Première manche, Samedi AM.
Je m’installe, loin, loin, derrière… Les feux passent au vert, Gazzzzz.
Je remonte trois, 4 lignes, je trouve un trou de souris à l’extérieur et j’avale le gauche après les stands devant un paquet de monos Ducati et même quelques 750.
À la sortie d’Estoril, je sens que la moto ne répond pas normalement.
Elle s’étouffe à 7000 t/m au lieu de reprendre avec sa vigueur habituelle.
Ce problème va m’handicaper à la sortie de chaque courbe rapide. En fait je dois redescendre un rapport de plus en particulier à l’entrée du 180° ou à la sortie d’Adélaïde…
Bref, pas idéal pour se lancer dans la remontée du siècle !
Après deux tours, je suis arrivé aux alentours de la 12è place et je suis dans les échappements de Leroy.
Je le double à Adélaïde…. Et j’oublie de descendre ce rapport de trop dans le 180°. Le virage se passe très bien, mais à la sortie, rien !
Je donne un coup rageur dans le sélecteur, la moto bondis, je passe le pif paf et rebelote au château d’eau.
Leroy repasse, je pense pouvoir profiter de mon double disque au freinage de la descente, mais non, il recule son freinage et conserve l’avantage à l’entrée des stands.
Je suis dans ses échappements à Estoril, je sors plus vite et je passe.
Ensemble, nous sommes revenus à quelques encablures du 9è, à savoir une Ducat 500 Pantah.
7è, 8è tour, je me rapproche, mais le 9è tour arrive et il a la ligne droite des stands d’avance.
Pourtant, je le remonte comme une balle. En fait, il a perdu son silencieux d’échappement et sa moto ne fonctionne plus comme elle devrait.
À Adélaïde , il a encore 100 mètres d’avance, au freinage de la descente, je suis dans ses échappements, mais il ferme la porte et je n’arrive pas à le déborder dans la chicane.
Il passe le damier avec une demi-moto d’avance…
Au bout de la route, 9è, et 4è 500.
Deuxième manche, j’ai repris mes réglages du Mans et la moto va beaucoup mieux.
Je me replace au même endroit que la veille, mais un commissaire me fait reculer.
Je passe de la 13è à la 14è ligne (youpiiii), sans savoir s’il a raison maintenant ou si celui d’hier qui m’avait correctement positionné.
Moyennant quoi , j’ai « gagné »encore une ligne de décalage par rapport au dernier.
Pour le coup, je loupe mon départ.
Je pars vite, mais une Triumph se positionne devant moi m’obligeant à couper mon élan pour éviter un strike.
J’aborde Estoril en avant-dernière position (ou pas loin). Va falloir se cracher dans les pognes !
À Adélaïde, je lève la tête de la bulle et je vois un gros paquet de motoculteurs un peu dans tous les sens.
Pour le coup, je tente le freinage de la mort qui tue. Je double tous mes petits camarades qui sont déjà sur les freins, le repère 100 m est dépassé, je me jette sur la poignée comme la vérole sur le bas clergé, la fourche couine, ça tourne. C’est passé, c’était beau.
Je laisse Vincent à l’entrée du 180° dont la moto n’a effectivement pas l’air au mieux de sa forme, je rejoins Franck dans le 180°, je le double à la sortie, je rattrape Leroy dès le 2è tour.
Cette fois-ci , je le double et creuse immédiatement un écart, avant de me retrouver dans l’échappement de la ducat 38…
Belle baston pendant deux tours. J’ai l’avantage dans la partie lente, lui dans le rapide.
Je lui fait l’inter dans le pif paf avant les stands (ce que je n’avais pas réussi à faire la veille) et j’aborde Estoril en tête.
Nous (enfin, Didier, surtout) avons fini de remonter la RGV Mercredi, et ce sera sa première sortie, sous aucun essai préalable… Jamais une situation idéale…
Vendredi, essais libres.
Pour la RDTZ, aucun souci. L’embrayage (cramé au Mans) est neuf, et le Moteur tourne rond.
En revanche, comme cela était prévisible, gros soucis du coté de la 250.
Une première séance de rodage permet d’entrevoir ure partie cycle très vive, et un moteur très pointu. . .
Rien de très surprenant.
En revanche, dès la 2e séance, je m’aperçois que le Moteur ne monte pas dans les tours comme il devrait. Pire, il semble réguler à 8000 T/M.
En fait, dès que la moto est chaude, un cylindre se coupe de manière assez aléatoire.
On y passera tout le samedi après midi, sans succès.
Après avoir testé les bobines, le CDI, les bougies, on en revient à un problème de carburation.
Nettoyage des cabus, réglage des niveaux de cuve, changement des pointeaux, rien n’y fera.
Au tour de chauffe de la première manche, ça va mieux, mais les coupures réapparaissent.
Je prends sagement la voie des stands pour éviter de tout casser dès la première course. . .
Alex, lui fera une course raisonnable en 1è manche (10è) et se fera « proprement » sortir au départ de la 2è manche.
Pas de bobo, pas de casse, mais, un peu de vague à l’âme.
Quant à moi, heureusement, j’étais aussi inscrit en Classic 500.
Pourtant, l’histoire a mal commencé et failli mal finir.
Vendredi, je passe la journée (entre les roulages) à finir la RGV pour qu’elle soit conforme au règlement (freinage des vis, dente de requin, bocal de récupération…).
Quand je me présente au contrôle pour la RDTZ, j’ai 15’ de retard.
RV le lendemain, et là, gros malentendu. Le soir même, avec son accord (du moins, c’est ce que j’avais compris…), je laisse la moto au contrôleur avec mon carnet.
Le matin, je la récupère, pensant que la vérification avait été effectuée.
Et quand, je me présente en pré grille pour les essais chronos, j’ai interdiction d’entrer sur le circuit la moto n’ayant pas été contrôlée….
Incrédule, Je discute, je parlemente, je tente d’avoir une explication et/ou de m’expliquer…
Rien n’y fait, retour aux stands.
Comme disait le petit père Hugo, tempête sous un crâne.
Puis intervention d’Évelyne ( merci à elle) qui me confirme que je pourrais rouler si je me (re) présente au contrôle technique (ouf !), mais… départ depuis la dernière ligne !
Première manche, Samedi AM.
Je m’installe, loin, loin, derrière… Les feux passent au vert, Gazzzzz.
Je remonte trois, 4 lignes, je trouve un trou de souris à l’extérieur et j’avale le gauche après les stands devant un paquet de monos Ducati et même quelques 750.
À la sortie d’Estoril, je sens que la moto ne répond pas normalement.
Elle s’étouffe à 7000 t/m au lieu de reprendre avec sa vigueur habituelle.
Ce problème va m’handicaper à la sortie de chaque courbe rapide. En fait je dois redescendre un rapport de plus en particulier à l’entrée du 180° ou à la sortie d’Adélaïde…
Bref, pas idéal pour se lancer dans la remontée du siècle !
Après deux tours, je suis arrivé aux alentours de la 12è place et je suis dans les échappements de Leroy.
Je le double à Adélaïde…. Et j’oublie de descendre ce rapport de trop dans le 180°. Le virage se passe très bien, mais à la sortie, rien !
Je donne un coup rageur dans le sélecteur, la moto bondis, je passe le pif paf et rebelote au château d’eau.
Leroy repasse, je pense pouvoir profiter de mon double disque au freinage de la descente, mais non, il recule son freinage et conserve l’avantage à l’entrée des stands.
Je suis dans ses échappements à Estoril, je sors plus vite et je passe.
Ensemble, nous sommes revenus à quelques encablures du 9è, à savoir une Ducat 500 Pantah.
7è, 8è tour, je me rapproche, mais le 9è tour arrive et il a la ligne droite des stands d’avance.
Pourtant, je le remonte comme une balle. En fait, il a perdu son silencieux d’échappement et sa moto ne fonctionne plus comme elle devrait.
À Adélaïde , il a encore 100 mètres d’avance, au freinage de la descente, je suis dans ses échappements, mais il ferme la porte et je n’arrive pas à le déborder dans la chicane.
Il passe le damier avec une demi-moto d’avance…
Au bout de la route, 9è, et 4è 500.
Deuxième manche, j’ai repris mes réglages du Mans et la moto va beaucoup mieux.
Je me replace au même endroit que la veille, mais un commissaire me fait reculer.
Je passe de la 13è à la 14è ligne (youpiiii), sans savoir s’il a raison maintenant ou si celui d’hier qui m’avait correctement positionné.
Moyennant quoi , j’ai « gagné »encore une ligne de décalage par rapport au dernier.
Pour le coup, je loupe mon départ.
Je pars vite, mais une Triumph se positionne devant moi m’obligeant à couper mon élan pour éviter un strike.
J’aborde Estoril en avant-dernière position (ou pas loin). Va falloir se cracher dans les pognes !
À Adélaïde, je lève la tête de la bulle et je vois un gros paquet de motoculteurs un peu dans tous les sens.
Pour le coup, je tente le freinage de la mort qui tue. Je double tous mes petits camarades qui sont déjà sur les freins, le repère 100 m est dépassé, je me jette sur la poignée comme la vérole sur le bas clergé, la fourche couine, ça tourne. C’est passé, c’était beau.
Je laisse Vincent à l’entrée du 180° dont la moto n’a effectivement pas l’air au mieux de sa forme, je rejoins Franck dans le 180°, je le double à la sortie, je rattrape Leroy dès le 2è tour.
Cette fois-ci , je le double et creuse immédiatement un écart, avant de me retrouver dans l’échappement de la ducat 38…
Belle baston pendant deux tours. J’ai l’avantage dans la partie lente, lui dans le rapide.
Je lui fait l’inter dans le pif paf avant les stands (ce que je n’avais pas réussi à faire la veille) et j’aborde Estoril en tête.
Si je suis tjs devant à Adélaïde, au bout de la ligne droite, c’est bon….
Et de fait, plus de nouvelles de mon camarade, jusqu’à l’arrivée.
En fait, jusqu’au damier, je pensais qu’il était juste derrière moi, alors qu’il avait abandonné deux tours avant.
Moyennant quoi, je suis 9 et 3è 500, et au cumul, 3è de 500…
Et une première coupe pour la RDTZ !!!
Et de fait, plus de nouvelles de mon camarade, jusqu’à l’arrivée.
En fait, jusqu’au damier, je pensais qu’il était juste derrière moi, alors qu’il avait abandonné deux tours avant.
Moyennant quoi, je suis 9 et 3è 500, et au cumul, 3è de 500…
Et une première coupe pour la RDTZ !!!